À chaque fois qu’une catastrophe fait des siennes, certaines personnes se posent toujours ces questions: où est Dieu? Est-ce qu’il n’aurait pas pu éviter ces malheurs ou pourquoi n’est-il pas intervenu?
Il y en a qui l’appelle tout simplement sur le banc des accusés. Ainsi, devant les souffrances atroces, ils s’interrogent sur l’omniprésence de Dieu, son omniscience et sa bonté.
Pourtant, Dieu n’a jamais promis un monde sans souffrance. Au contraire, il a averti l’homme de ces catastrophes qui vont arriver.
Ainsi, au-delà des souffrances, l’homme devrait être en mesure de reconnaître non seulement la souveraineté, l’omniscience et l’omniprésence de Dieu, mais aussi son amour incommensurable.
Car, c’est pour ces raisons qu’il a fait provision, pour l’homme, d’une éternité bienheureuse, après avoir vécu lui-même dans ce monde, exposé à la misère et à la souffrance.
De ce fait, malgré la tristesse l’angoisse et la souffrance qui peuvent envahir l’homme à cause des catastrophes, il est appelé à saisir au moins deux vérités fondamentales : la fragilité humaine et la vanité des richesses et des biens.
Face à ces vérités, comment ne pas reconnaître la grandeur de cet amour manifesté en Jésus-Christ par le sacrifice de Golgotha.
Ainsi, l’apôtre Paul a eu raison de déclarer dans le chapitre 8 aux versets 38 et 39 du livre des Romains, qu’il a l’assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur.